La sortie de ce premier opus se rapproche à grands pas ! Prévue pour le 27 juillet aux éditions Bookmark, cette nouvelle édition de Il pleuvra sur la lande se dévoile petit à petit. RésuméAu cœur des landes rocheuses dorment des mystères qu’il faut parfois réveiller et White Mist Hall en regorge.
Héritier de vingt-deux ans, Keith est destiné à épouser Elizabeth, sa cousine éloignée, même s’il n’éprouve pour elle qu’un amour fraternel. En la rejoignant au manoir de White Mist Hall, dans les Highlands, le jeune homme pense tirer un trait sur sa liberté et ne se doute pas que l’Écosse, terre de légendes, lui ouvrira les portes d’un univers surnaturel. De passage secret en carnet ésotérique, Keith devra réévaluer sa conception du monde pour espérer survivre, car le hurlement d’une banshee l’a condamné à mort. Mais dans cette aventure, il y a bien plus qu’une seule vie en jeu. Les cousins devront se montrer prêts à tous les sacrifices et nouer les alliances les plus surprenantes. Accompagnés de deux vampires mercenaires et d’une ancestrale famille de chasseurs occultes, ils devront combattre les forces dangereuses en action, au risque de devenir eux-mêmes des proies de l’ombre. #MM #Fantôme #Humour #Vampires
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Avec l'approche du nouvel an vient le temps du bilan. Cette année 2020 a été étrange. Il me semble qu'elle est passée à la fois vite et lentement. J'aurais dû aller aux Imaginales pour la première fois. L'hôtel était même réservé, mais le premier confinement est passé par là. Pour ne pas trop me laisser envahir par l'incertitude et l'inquiétude ambiantes durant cette année, je me suis enfermée dans ma bulle et j'ai écrit. Beaucoup. Pas moins de 154 361 mots pour être exacte, en dépit d'un gros creux cet été. Cette année, j'ai donc :
Si je ne m'étais pas posée pour faire le bilan, je n'aurais jamais pris conscience d'avoir fait tout ça tellement j'ai l'impression d'avoir ramé toute l'année. Alors qu'en fait, je n'ai jamais autant écrit depuis treize ans. Une vraiment étrange année que 2020. Bref. Pour conclure, je vous laisse avec un visuel et un pitch de "2 centimètres" avec lequel je m'amuse beaucoup, même si je découvre que mon héros est éprouvant à cause d'un caractère dur. Je n'avais pas mesuré l'abysse de ses peines. ![]() Dans un monde régi par la technomagie, des robots de combat géants appartenant à une ancienne civilisation oubliée sont retrouvés. Une mystérieuse pièce manque sur chacun d'entre eux. Une pièce qui mesure exactement deux centimètres. Il n'en faut pas plus à tous les chasseurs de primes pour se lancer à sa recherche, car la récompense pour la trouver est colossale. Et il semblerait que la prestigieuse université de magie de Puy-sur-Embruns ait quelques cartes à jouer dans la partie. Petit indice : c'est la dernière phrase du pitch qui en dit le plus. "2 centimètres" est un peu de l'auto-fan service puisque c'est le mélange de toute la base de ma culture en animation japonaise : Vision of Escaflowne, Gundam, Voltron (ok, c'est americano-japonais, mais c'est pas grave), les Miyazaki, Card Captor Sakura, Yu-Gi-Oh!, Beyblade et j'en oublie sans doute. Mais ceux-là vous donnent déjà une idée de ce que vous trouverez dans le roman. Depuis le temps que je voulais écrire une histoire avec des mecha, je ne vous explique pas mon degré de hype ! Objectifs 2021Je n'en ai pas vraiment. Du moins, pas différents des habituels, à savoir écrire et soumettre.
Corriger, aussi, puisque les corrections éditoriales de "Il pleuvra sur la lande" vont battre leur plein en 2021. J'aimerais que mon Lion trouve une maison, mais ça, ça ne dépend plus uniquement de moi pour l'instant. Les mots d'ordre de 2021 sont donc : prendre du plaisir dans l'écriture. Car si j'y consacre autant de temps, c'est bien parce que ça me rend heureuse même quand les choses vont mal à côté. Et ce "à côté" risque d'être particulièrement compliqué en 2021, à moins d'un gros coup de chance. En cette fin du mois de novembre qui voit s’achever le NaNoWriMo (auquel je ne participe plus parce que de toute façon, je ne tiens jamais plus d’une semaine), je tenais à vous parler de Des proies pour l’ombre. Comme vous le savez sans doute, les deux premiers tomes de DPPO ont connu une première vie chez les éditions Flammèche, jusqu’à leur fermeture fin 2017. En début d’année 2019, après avoir rafraîchi « Il pleuvra sur la lande », le tome 1, je l’ai soumis à trois maisons d’édition. Une l’a refusé à peine un mois après, une autre l’a refusé aussi mais m’a adressé des encouragements, et une dernière s’est aperçu lors de ma relance, neuf mois après ma soumission dont ils ont accusé réception, qu’ils n’avaient pas le manuscrit. C’est rageant mais, hélas, ça arrive même aux professionnels les plus sérieux. Ils m’ont gentiment proposé de renvoyer le manuscrit, ce que j’ai refusé pour plusieurs raisons. Et maintenant ? Après un énième ravalement de façade des deux premiers tomes, je vais m’attaquer à la dernière relecture papier du tome 3 et boucler ainsi ce premier cycle de corrections pour ce dernier opus (Oui, il y a plusieurs cycles de corrections. Je sais, ça fait peur mais c’est indispensable !) Ensuite, je vais laisser reposer tout ça et aviser en temps voulu. Je dois vous avouer que je suis un peu perdue avec cette série. Je suis partagée entre l’envie de lui trouver une ME qui saura à nouveau lui donner une chance d’exister et l’envie de passer à autre chose en la publiant en auto-édition. J’ai beaucoup de mal à ne pas aller au bout d’un projet (le bout étant la publication, qu’elle soit en AE ou en ME) en particulier quand j'affectionne une histoire. Et DPPO, je l'aime de tout mon petit cœur ! Je vais essayer de faire au mieux en vous tenant régulièrement informés car je sais qu’il y a certains de mes lecteurs qui attendent la suite (Merci à vous 💝💝💝) Pour la peine, je vous laisse avec l’illustration d’Eskhar Hygan qui a parfaitement su représenter mon héros Keith (à droite) et celui qui fera chavirer son cœur : John. Et en exclu', je vous partage le début du prologue inédit : La Science est l’explication de l’une des facettes de nos légendes. Mais alors, que cachent les autres ? Wick – 2003 « L’Écosse. Dame de mystères drapée de brume et de légendes immortelles, au cœur brûlant de merveilleux sous ses dehors algides, à l’âme protégée par ses farouches dieux d’antan. Prenez garde, amis, car ce que cette terre promet, jamais elle ne l’oublie. » Les vagues roulaient au pied des falaises de Noss Head où chantait le ressac de la Mer du Nord. Là-bas, sur la terre historique du clan Sinclair, par-delà les ruines de Girnigoe et la tour Ackergill s’élevait l’un des plus beaux manoirs des Highlands. Dans son écrin sauvage, White Mist Hall se dressait comme l’un des derniers géants de pierre avant l’immensité du bout du monde, comme l’un des derniers gardiens des mythes de la belle Écosse. Morrigan n'a qu'à bien se tenir ! (Oui elle appartient à la mythologie irlandaise et non écossaise mais dans DPPO, son influence dépasse légèrement l'Irlande.) "Morrigan", illustration par IrenHorrors
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Dana B. Chalys, romancière de l'Imaginaire, créatrice des C2T.
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Fantasy (réécriture de conte) Oneshot Sur WattpadPublié en intégralité.
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